Corolle, Clodrey : une histoire de poupées Publié dans le journalLa Nouvelle République 23 avril 2013
Bébé chéri toujours au catalogue ! En 1999, les Amoureux du Vieux Langeais organisaient une exposition sur ces poupées, fleurons des productions langeaisiennes. Le succès fut énorme avec 15.200 visiteurs, et jusqu'à parfois 800 dans une journée !
Quinze ans après, l'équipe s'est lancée dans l'aventure de l'écriture d'un livre. Depuis le 1er octobre, Monique Masfrand et Didier Santens ont rencontré des anciens ouvriers, ouvrières et responsables. Ils ont recueilli des témoignages, filmé, photographié, en étroite collaboration avec l'entreprise et Catherine Refabert. Ils ont créé des liens avec les blogueuses, fans des poupées langeaisiennes et qui les aident à trouver des documents.
De cette masse d'informations, il a fallu passer à l'écriture. L'ouvrage en est au stade de la relecture et devrait être mis en impression, fin mai.
Un ouvrage pour l'automne Sa mise en vente est prévue pour le 25 octobre, à 18 h, premier jour de l'autre événement, la seconde exposition qui se prolongera jusqu'au 22 décembre. Nous présenterons en temps voulu cette prochaine exposition sur ces poupées et poupons mythiques à l'approche de Noël. Les grandes lignes sont déjà tracées : Une salle partagée en huit lieux de présentation, un espace d'animation pour les enfants, des journées réservées aux scolaires et une spéciale pour ces VIP que sont les anciens de Clodrey et Corolle. Les AVL recherchent des modèles et des documents Clodrey : avis aux collectionneurs et aux éventuels prêteurs.
Publié dans le journal La Nouvelle République 24 Octobre 2013
Sixtine Poupée Corolle de collection
Pour leur 30e anniversaire, Les Amoureux du vieux Langeais ont décidé, dans le cadre de la saison culturelle de la ville, de présenter une exposition consacrée à un des fleurons de son industrie : « Corolle, Clodrey, une histoire de poupées ».
Cinq cents poupons et poupées seront présentés dans une mise en scène Corolle pour faire revivre les 45 ans d'existence de la poupéterie : poupées de collection des années 1960-1970 dans leur boîte d'origine, poupons mythiques Clodrey, primés dans les plus grands salons du jouet internationaux, poupées actuelles Corolle, accompagnées de leurs accessoires indispensables.
Cette exposition s'adresse à tous et se veut un hommage aux différents créateurs tout comme au savoir-faire et à la compétence des employés.
Un espace sera réservé aux enfants pour manipuler l'objet de leur rêve et un tirage au sort aura lieu chaque dimanche soir dont le lot sera… une poupée Corolle.
Du 26 octobre au 22 décembre, espace Culturel de La Douve, du mardi au dimanche de 14 h à 18 h entrée libre. Tél. 02.47.96.54.39. Groupes sur rendez-vous du mercredi au samedi.
1er Novembre 2011 Publié dans La Nouvelle Republique
Les poupées Corolle ont évolué avec le temps. Mais elles ont toujours été conçues avec minutie et rigueur. La marque emploie encore 70 personnes à Langeais.
La poupée affective est langeaisienne. Une exposition va en réunir plus de 500 pendant deux mois. C’est un peu plus qu’un jouet.
Elles sentent toutes la vanille. Monique Masfrand et Didier Santens, respectivement présidente et trésorier de l'association des Amoureux du Vieux Langeais, évoquent cette particularité propre aux poupées Corolle. Un détail parmi d'autres, qui en font des jouets haut de gamme. Une exposition intitulée « Corolle, Clodrey… une histoire de poupées » débute à l'espace culturel de la Douve, à Langeais. « Nous avons déjà traité de nombreux sujets sur le petit patrimoine local : briqueterie, vigne, faïences, explique Monique Masfrand, qui célèbre les 30 ans de son association des Amoureux du Vieux Langeais. Cette fois-ci nous organisons une rétrospective de poupées fabriquées ici depuis 1958 et vendues dans le monde entier. »
C'est d'abord sous le nom « Clodrey » – contraction des prénom et nom du créateur, Claude Réfabert – qu'ont été commercialisées ces poupées d'un genre nouveau, produites à Langeais, avant d'être rebaptisées « Corolle ». On doit également à la marque quelques-unes de plus célèbres marionnettes de télé : Pollux, Pimprenelle et Nicolas, les Shadoks… « C'était une usine de femmes qui travaillaient en tant qu'ouvrières à domicile, précise Didier Santens. Ce qui a fait le succès, c'est qu'il y a eu une famille de génies. » De Claude Réfabert, présenté comme « innovateur et battant », en passant par sa belle-fille Catherine, qui a eu l'idée de créer « la poupée affective, qui ressemble vraiment à un bébé ».
Une collaboration avec les pédopsychiatres avait même été mise en place afin de rendre la poupée à l'image des petites-filles. « Catherine Réfabert a été l'une des premières à avoir créé le bébé sexué. » Et un bébé qui évolue avec son temps.
Concrètement, quelles sont les différences avec la poupée classique de supermarché ? « Cesont des habits de haute couture, avec un emballage magnifique et une matière ininflammable. C'est un produit fini et suivi. »
Une « clinique » de la poupée existe à Langeais, permettant aux enfants d'envoyer la leur pour la faire réparer. En retour, ils récupèrent un bébé en pleine forme et reçoivent un certificat indiquant, par exemple, qu'il a été très sage… Mais avec l'avènement des nouvelles technologies, la poupée ne risque-t-elle pas de devenir un jouet suranné ? « Ça va perdurer, assurent les Amoureux du Vieux Langeais. Tant qu'on adapte la poupée aux besoins et aux volontés de l'enfant. »
A Langeais, on y est attaché plus que nulle part ailleurs. Sébastien Bourcier
Exposition Corolle, Clodrey, une histoire de poupées
Du 26 octobre au 22 décembre Pour fêter ses 30 ans d’existence, l’Association des Amoureux du Vieux Langeais a décidé de consacrer une exposition à l’un des fleurons de l’industrie langeaisienne : « Les Poupées Clodrey et les Poupées Corolle »
Des créateurs de génie ont révolutionné la profession de fabricants de poupées, à Langeais, tant sur le plan des techniques de production et les matériaux servant à la fabrication des poupées que sur le plan affectif que représente la poupée.
Georgette et Claude Réfabert puis leurs enfants Catherine et Jacques Réfabert ont excellé dans un domaine encore inexploré à l’époque, celui de la poupée affective en étroite collaboration avec les pédopsychiatres.
A Langeais du 25 octobre 2013 au 23 décembre 2013, à l’Espace culturel de « La Douve », vous pourrez admirer plus de 500 poupées dans une mise en scène « Corolle ».
L’exposition est ouverte du Mardi au Dimanche de 14h à 18h
Poupées de collection des années 1960/70 conservées pour certaines dans leur boite d’origine, poupons mythiques de la marque Clodrey, présentés dans les plus grands salons du jouet et aux nombreuses récompenses nationales et internationales donneront une note nostalgique aux visiteurs.
Poupées actuelles de la marque Corolle, accompagnées de leurs accessoires indispensables, qui font le bonheur des petites filles et des … jeunes garçons. A noter qu’un espace sera réservé aux enfants pour manipuler l’objet de leur rêve et qu’un tirage au sort aura lieu chaque Dimanche soir dont le lot est … une poupée Corolle.
Mes filles et moi même sommes invitées le 25 octobre 2013 par "les amoureux du vieux Langeais" à l'inauguration de l'Exposition où les poupées Corolle seront à l'honneur. Seront présents Jacques et Catherine Refabert, Catherine Petot et Mathilde Dezalys. Un grand moment !
Nous prenons donc la route le jeudi 24 pour ce grand moment !
Couverture de la brochure qui sera commercialisée dès le 25 octobre 2013
Une page spéciale est consacrée à cette inauguration. Nous étions dans un monde d'émotion, de tendresse, de nostalgie, rien que du bonheur ! .....
I N O U B L I A B L E ........
Noée, 5000ème visiteuse de l'exposition Corolle
29/11/2013 05:30
L'exposition « Corolle, Clodrey, une histoire de poupées » connaît un immense succès, et chaque week-end, la foule se presse dans cette caverne d'Ali Baba. Dimanche après-midi Monique Masfrand, présidente des Amoureux du Vieux-Langeais, l'association organisatrice, a eu le plaisir de remettre à Noée Lagrange, 4 ans, de Tours, une magnifique poupée car elle était la 5.000e visiteuse. Le baptême aura lieu après mûre réflexion avec sa sœur Léane, mais elle tiendra compagnie à Camille et Rose, deux poupées Corolle déjà au foyer.
Comme chaque dimanche soir, un tirage au sort a désigné une autre gagnante parmi les bulletins de la semaine. 5.000 à mi-parcours, déjà un beau chiffre. Rendez-vous à la clôture, le 22 décembre, pour un bilan sans doute record à l'approche de Noël.
Clodrey, Corolle, la soirée des anciens 13/12/2013
Catherine Réfabert au milieu de celles et ceux qui ont donné naissances à ces poupées de rêve.
L'exposition « Corolle, Clodrey… une histoire de poupées » a déjà passé le cap des 5.000 visiteurs et voit quotidiennement se poursuivre cette affluence. Récemment, en fin d'après-midi une centaine de personnes étaient présentes en même temps.
Des visiteurs bien particuliers puisque les Amoureux du Vieux Langeais, à l'initiative de cette exposition, avaient invité tous les employés, anciens ou actuels, à une soirée, au milieu de ces poupées qui sont en quelque sorte les leurs. Comme la doyenne, Lucienne Fleury, entrée en 1957 chez Codrey et qui évoque le découpage des tissus pour les habits. A la main ou à la scie très fine quand il s'agissait d'en couper une épaisseur de 80 lés, avec des journées de douze ou treize heures dans les périodes de pointe.
Moment d'émotion pour Catherine Réfabert de retrouver une « équipe extraordinaire qui a produit les plus belles poupées du monde. Création, fabrication, chacun a pris une part indispensable dans ce succès. » Surprise par le nombre, elle a remercié de tout cœur les participants et conclu « on doit recommencer, ne pas rester à nouveau quinze ans sans se revoir ».
« Nous avons voulu, avec cette exposition, rendre un hommage à votre savoir-faire et votre créativité » explique Monique Masfrand, présidente des AVL. Le maire a évoqué « une entreprise qui fait partie de l'histoire de la ville et a contribué à son renom » et a salué les bénévoles des AVL pour leur initiative.
Oui j'espère aussi ne pas attendre 15 ans pour retrouver cette sympathique équipe !
Article extrait du journal Les Echos du 12 décembre 2013
Corolle cultive la « french touch »
La marque de poupées de Mattel, basée en Touraine, fait désormais appel à un bureau de style et joue sur la complicité mère-fille.
Les tablettes pour enfants et autres peluches interactives ne seront pas les seules à se faire une place sous le sapin. Même si elles tournent le dos au virtuel, les poupées Corolle font tout pour continuer à séduire les petites filles et leurs parents. Conçues à Langeais, en Touraine, elles ont un petit goût d'exception au royaume de Mattel, dont elles font partie.
Assurer son positionnement
La marque, née en 1979, capitalise sur des poupées sentant bon la vanille et ressemblant à de vrais bébés ou à des enfants. Si ses créations sont très reconnaissables, elle s'emploie à faire émerger plus fortement son positionnement. Elle a mieux segmenté ses gammes. Et s'appuie, en cette période de fêtes, sur des démonstratrices en magasin chargées d'expliquer les produits.
Corolle s'est aussi offert les services du bureau de style Peclers pour l'accompagner dans l'élaboration des tenues des poupées. « Nous voulons nous inspirer davantage de la mode enfantine, même si les petites filles aiment toujours le rose et les paillettes », remarque Mathilde Dezalys, la directrice générale. Il s'agit, en outre, de cultiver la « french touch » à l'international.
Les produits s'adaptent aux évolutions des modes de vie. Le nouveau sac à langer-sac à dos comprenant poupon, vêtements, biberon... permet d'avoir toujours sa poupée avec soi, même lorsque l'on appartient à une famille recomposée.
Miser sur l'affectif
Corolle cherche à renforcer les liens avec ses consommateurs. Cette année, il a pris directement la parole, avant Noël, auprès de 450.000 foyers ayant une petite fille de moins de trois ans en leur envoyant un catalogue. La couverture de ce dernier mise sur la dimension affective en mettant en scène une mère, sa fille et son poupon. « Il existe un vrai glissement de l'âge de recommandation d'un jouet par l'enfant. Il nous faut trouver le moyen de nous adresser autant à eux qu'à leurs parents », constate la directrice générale, ajoutant que Corolle commence à être une marque transmise de mère en fille. Car, même si l'entreprise propose des poussettes bleues dans lesquelles les petits garçons peuvent aussi promener leurs ours, les poupées restent un territoire très féminin.
Bien décidé à cultiver la fidélité, Corolle garde en stock les anciens modèles de doudou. Pour qu'une éventuelle perte ne se transforme pas en drame. La marque veut aussi entretenir son mythe. Jusqu'au 23 décembre, elle consacre à Langeais une exposition à l'histoire de ses poupées. Si Corolle n'a été créée par Carole Réfabert qu'à la fin des années 1970 avant d'être rachetée en 1989 par l'américain Mattel, elle a eu des grandes soeurs, les poupées Clodrey, lancées par les parents de la fondatrice
Etendre sa présence
Aux Etats-Unis, où elle peut compter sur l'appui logistique de sa maison mère, Corolle passe à la vitesse supérieure. Elle y vend moins de vêtements de poupées qu'en Europe. Mais les marinières ornées d'une tour Eiffel ou les petits trenchs pourraient changer la donne En France, outre les magasins de jouets, la marque vend désormais sur Internet. Elle s'est développée dans une enseigne comme Monoprix pour toucher d'autres typologies de consommateurs, notamment pour les petits cadeaux. « Il faut être présent à l'esprit des gens de manière plus quotidienne », remarque Mathilde Dezalys. Ses produits figurent aussi dans les espaces Kids de la FNAC. Corolle entre en outre dans les magasins de puériculture Aubert pour s'adresser très tôt aux parents. L'entreprise compte renforcer l'an prochain sa gamme Babi et aller vers des coffrets de naissance. Pour Noël 2014, elle travaille déjà sur des pyjamas pour petites filles ressemblant aux vêtements des poupées. Des développements susceptibles d'aider à désaisonnaliser l'activité.
Clotilde Briard
2014
Au dernier trimestre de l'année 2014 j'ai été contacté par Odile Amblard, rédactrice du magazine La Croix. Après avoir visionné notre site elle était en effet désireuse d'obtenir mon interview sur les poupées Corolle C'est avec grand plaisir que je lui ai répondu.
Cet article est paru le 10 décembre 2014.
La Croix - Parents et enfants
2015
La marque, qui appartient à l'américain Mattel, lance un nouveau concept de poupée plus accessible et à personnaliser. Elle souhaite ainsi désaisonnaliser son activité et séduire plus longtemps les fillettes.
Jean slim, doudoune flashy, jupe argentée... La poupée Corolle serait-elle devenue une fashion victim? En tous cas, plus question d'attendre Noël, chaque année, pour dévoiler sa nouvelle garde-robe. Corolle se met elle aussi à la fast fashion pour plaire aux fillettes. Comme chez Zara et H&M qui ont inventé le concept, elle pourra varier ses tenues plusieurs fois par an. «Nous allons lancer régulièrement des nouveautés, commente Mathilde Dezalys, directrice générale de Corolle, racheté en 1990 par Mattel. Cela permettra aux petites filles de faire une découverte à chaque venue en magasin ou sur notre site Internet».
Exit cet hiver la jupe étoilée qui sera remplacée par une marinière. Corolle, qui est désormais accompagné par un cabinet de tendances (Peclers), s'adapte à l'évolution de la mode. «Nous voulons être dans le quotidien de la petite fille», ajoute Mathilde Dezalys. Un coup de jeune pour l'entreprise trentenaire (née en 1979) qui innove cette année avec un nouveau concept de poupée plus accessible et personnalisable. Baptisée ma Corolle, la poupée classique (36 cm) est désormais vendue en sous-vêments, moins chère (39 euros). C'est ensuite à la fillette de choisir ses tenues et accessoires favoris pour la personnaliser à des prix allant de 5 à 20 euros pièce, du parapluie au sac à main en passant par les lunettes de soleil et les ballerines. «Cela permettra de faire des achats Corolle tout au long de l'année et pas seulement à Noël», ajoute Mathilde Dezalys.
Concurrence des licences
Corolle, dont le chiffre d'affaires est estimé environ à 30 millions d'euros, espère ainsi ouvrir un nouveau chapitre de son histoire. «C'était un projet en gestation depuis longtemps, commente Mathilde Dezalys. Nous réfléchissions à un moyen de garder les petites filles plus longtemps. La mise en œuvre de ce concept, en un temps record pour être prêt pour la rentrée, a été une révolution culturelle chez Corolle». Pour mieux cerner les attentes des fillettes, Corolle s'est penché de près sur leur façon de jouer avec leurs poupées. L'entreprise a réalisé l'an passé des études ciblées en allant jusqu'à les filmer dans leur chambre. Elle s'est également nourri des commentaires de ses clientes. Cela l'a notamment conduit à éclaircir le blond de ses poupées, à rallonger leurs cheveux...
Ce nouveau concept arrive à point nommé pour Corolle. La poupée a subi l'an passé la concurrence de licences très fortes chez les petites filles, en particulier la Reine des neiges, ainsi que des poupées Princesse Disney. Alors que le secteur du jouet a longtemps connu des cycles de trois ans, il se renouvelle plus vite, en fonction des modes et tendances - parfois éclair, comme l'an passé les bracelets Loom. Corolle doit donc plus que jamais coller aux tendances actuelles pour satisfaire des fillettes de plus en plus perméables à la mode et aux nouvelles technologies. Sans pour autant renoncer à son ADN, celle d'une poupée qui incarne à la fois l'enfance et la tendresse ainsi qu'un certain chic français. Un équilibre complexe à trouver mais facilité par les moyens financiers de sa maison mère qui lui permettent aujourd'hui d'être plus réactive. L'entreprise devrait notamment mettre l'accélérateur sur Internet et les réseaux sociaux en développant tutorials et vidéos destinés à mieux faire vivre la marque dans l'univers des fillettes.
Corolle, qui n'est vendu que chez les distributeurs spécialisés mais aussi à la Fnac et sur Amazon, a retrouvé cette année une part de marché supérieure à 25 %. Sa directrice générale s'attend à «une très belle année pour Corolle».
Septembre 2015
2016
En ce week-end de fête des mères, la marque de poupées et de doudous ouvre ses portes à tous les futurs parents (mamans et papas) afin de les aider à appréhender sereinement l’arrivée de leur bébé.
La naissance (imminente) d'un enfant est un vrai chamboulement dans la vie d'un couple ! Pour aider les futurs et jeunes parents à se préparer tranquillement (mais efficacement) à l'arrivée de bébé, la célèbre marque de poupée Corolle ouvre ce week-end sa Maison des Papas Poules, un lieu éphémère à l'Espace Réduit,
Trois jours de conférences et d’activités
Le temps d’un week-end, tous les futurs parents, femmes enceintes et futurs papas (poules, évidemment), sont invités à participer - gratuitement - à des conférences et discussions ouvertes, animées par des spécialistes de la santé féminine et de la petite enfance (psychiatres, pédiatres et gynécologues), sur des sujets variés tels que « Le couple uni par-delà les lois de la famille », « Le passage de deux à trois » ou encore « les besoins de bébé, des mamans et des papas ». Vous pourrez également découvrir de nombreuses activités et participer à des ateliers gratuits. Au programme, chant prénatal, yoga à trois, langue des signes pour bébé, belly painting (peinture sur le ventre de la femme enceinte), hypnonaissance… Il y en a pour tous les goûts… et tous les besoins ! Alors foncez.