Visiteurs Bienvenue aux corolliennes d'hier,
d'aujourd'hui et de demain.
Que, toutes, vous gardiez votre âme d'enfant !
"Il reste toujours quelque chose de l'enfance, toujours ..."
Citation de Marguerite Duras, extraite de "Des journées entières dans les arbres" 1954. "Nous aimons notre enfance, nous y revenons, nous la jugeons, elle nous juge."
Citation de Elie Wiesel
"On ne s'arrache pas de l'enfance, qu'elle ait été heureuse ou malheureuse ;
les origines frappent le subconscient comme on le dit d'une médaille."
Citation de Louis Nucera
"On ne renie pas son enfance, on l'enfouit au fond de son coeur et l'ombre portée,
l'ombre magique, devient un symbole."
Citation de Dominique Blondeau
Chérubine et son garde du corps ! welcome
herzlich willkommen
bienvenidos
benvenuto
sveiki atvyke
namaste
dobro pojalovat
meava
soo dhawaw
yôkoso
Un livre d'or est à votre
disposition sur une page spéciale.
Dernière mise à jour le 3 novembre 2024.
A ce jour, notre collection Corolle compte
666 bébés et poupées
+ 1 tête à coiffer, les chiens Chérie, Poupette et Ma Corolle,
le cheval Kinra Girl,
184 Babicorolle et 8 CR Calin.
Nous avons voulu dans ce monde de poupées,
apporter beauté et douceur. Notre monde en a besoin ....
Vous y trouverez de belles images
et quelques uns de mes poèmes.
Si vous les aimez, vous les retrouvez dans leur intégralité sur mon dernier ouvrage
paru aux Editions 7écrit sous le titre :
"Irrésistiblement plume"
283 poèmes répartis en 6 thèmes. Je consacre quelques lignes concernant mes 3 romans sur les pages
"De l'écriture à la lecture"
Depuis peu mon éditeur est en partenariat avec Amazon
et j'ai été choisi en tant qu'auteur pour être lue à l'international !
Celui qui suit fait partie de mes préférés.
Union céleste Mer myosotis, tu étales, nonchalante, tes flots saphir sous le soleil levant.
Blottie sous tes eaux, la sirène aux longs cheveux blonds s’éveille doucement.
Assise, sur mon blanc rocher
je t’écoute me raconter
C’était il y a fort longtemps, lors de la création du monde.
Tu te trouvais bien seule, toi, alors l’immense onde !
Mais un matin, la plus haute de tes vagues, l’a heurté soudain !
Alors enfin, tu l’as vu, clair et limpide, tel un lagon azurin.
L’Amour désormais entrait dans ta vie
Ciel t’appartenait ! Vous vous êtes unis.
Neuf ères se succédèrent tendrement, quand un pur matin
sur la crête d’une lame, une coquille de nacre,
entourée d’écume, surgit soudain !
Ainsi bercée, elle s’ouvrit timidement, dévoilant une perle opaline, parfaite, extraordinaire.
Mer et Ciel étaient comblés : de leur passion, une fille survenait. Ils lui donnèrent le nom de Terre !
Sa mère alors de ses eaux l’habilla, la recouvrit
et son père, jalousement, l’entoura à l’infini.
Terre s’ennuyait-elle si seule dans l’univers ?
Elle pleurait parfois, avait froid et réclamait la lumière
Alors, Mer lui subtilisa une larme et l’immergea dans ses flots.
En une boule de cristal elle se transforma. Lune fut son nom aussitôt !
Pendant ce temps, son père, lui aussi, cherchait un cadeau
pour que sa fille ait chaud. Il le voulait unique et très beau !
Aucun d’eux ne se doutait alors que Terre possédait bien des trésors !
C’est ainsi que Ciel découvrit sans peine, parmi des merveilles, une pépite d’or.
Il choisit l’endroit le plus haut pour y déposer son présent, sans aucun autre pareil.
Sans attendre, l’or, de mille et mille rayons, s’illumina, s’enflamma… Son nom devint Soleil !
Terre, vivante, heureuse et gaie, en fut bien vite métamorphosée.
Elle prit des formes, des couleurs, et tout son relief fut animé.
Pour gratifier Mer et Ciel de leur bienveillante attention
Terre versa des larmes de joie, chargées d’émotion.
C’est pourquoi, depuis ce précieux moment,
dès la tombée de la nuit des milliers d’étoiles scintillent au firmament,
remémorant ce jour béni.
« Mer, Ciel, bien humblement, je m’adresse à vous aujourd’hui.
Je vis sur Terre, elle est si belle ! Je vous en remercie. »
17 septembre 2000, poème né dans les criques. Il était une fois ....
Il était une fois deux soeurs, mes filles, Anaïs et Eve ...
Je souhaitais pour elles une enfance de rêve.
Comme par magie, au moment tant attendu des fêtes de Noël,
les vitrines illuminées de la ville, offraient tout un choix pour elles.
Parmi les plus beaux jouets, les plus renommés,
les poupées Corolle en grand nombre, étaient proposées.
Je savais dès lors ce que je devais leur acheter. Et pourtant ! ! Lorsque j'étais moi-même une petite fille, j'ai trouvé
au début des années 60, dans la cheminée
une grande et belle poupée toute frisée.
Malheur ! J'étais un garçon manqué
alors, la pauvre, le nez je lui ai croqué !
Fini pour moi l'achat de ce jouet !
Les années ont passé, je me suis mariée, trois enfants sont nés.
Mes filles, tout de suite, ont adoré les poupées ....
Je devais donc ne pas les contrarier !
Mais uniquement les Corolle, il n'y a pas à se tromper !
Et devinez ce qui s'est passé ensuite et pour longtemps ?
Moi, les Corolle aujourd'hui je les aime infiniment.
J'ai pourtant l'âge d'être grand maman !
Mes filles sont ravies, bien évidemment !
Devenues adultes à leur tour, nous sommes trois mamans
fans de ces poupées et bébés charmants !
Nous venons donc ici vous présenter nos jolis trésors
mais ce n'est pas fini, nous en aurons encore !
Christine février 2011 Tout d'abord, avant d'entrer dans les détails de tous nos charmants bambins et jolies demoiselles,
je vous présente quelques photos de notre album de famille.
Lorsque je faisais ces photos je ne me doutais pas alors, que bien des années plus tard,
elles figureraient sur un site internet !
Moi c'est Anaïs, l'aînée.
Ici j'ai 4 ans avec Ingrid. Et moi c'est Eve. Ici j'ai 6 ans avec Chérubin.
A propos de "notre âme d'enfant"
j'ai trouvé ces quelques lignes écrites par Samuel Ullmann qui me plaisent beaucoup.
Le mot est même bien faible.
Je voulais vous en faire profiter.
Etre jeune
La jeunesse n'est pas une période de la vie, elle est un état d'esprit, un reflet de la volonté, une qualité de l'imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années, on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal. Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l'âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui lentement, nous font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.
Jeune est celui qui s'étonne et s'emerveille.
Il demande comme l'enfant insatiable : et après ?
Il défie les évènements et trouve de la joie au jeu de la vie.
Vous êtes aussi jeune que votre foi.
Aussi vieux que votre doute.
Aussi jeune que votre confiance en vous-même.
Aussi jeune que votre espoir.
Aussi vieux que votre abattement.
Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif.
Réceptif à ce qui est beau, bon et grand.
Réceptif aux messages de la nature, de l'homme et de l'infini.
Si un jour votre coeur allait être mordu par le pessimiste,
et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard.
Samuel Ullmann La suite sur "Album de famille"